La matière première, le coprah, se présente sous forme de blocs et ne peut donc pas être acheminée par élévateur ; le petit convoyeur à raclettes a une entrée trop petite, ce qui rend l’alimentation irrégulière ; et si la raclette est trop grande, le coût est trop élevé. C’est pourquoi nous choisissons un convoyeur à bande pour la ligne de production d’huile de coco. Son angle d’inclinaison ne doit pas dépasser 30°, sinon il est facile de faire tomber la matière. Avant le dispositif de broyage, nous installons un dispositif d’élimination des fers, qui peut d’une part empêcher les équipements d’être endommagés par les fers, et d’autre part garantir la qualité du gâteau d’huile de noix de coco.

Le coprah est un gros bloc de chair de noix de coco séchée, dont les dimensions peuvent être de 180 mm x 100 mm x 6 mm. Par conséquent, nous devons d’abord résoudre le problème du broyage du coprah. Nous choisissons un concasseur à marteaux, augmentons la taille du tamis, réduisons le nombre de marteaux et organisons le croisement des marteaux de manière uniforme. Le coprah ayant une teneur élevée en huile, nous utilisons un élévateur à chaîne pour le transport du matériau après le broyage. De plus, en raison du degré élevé de poudre, les buses d’importation et d’alimentation sont facilement empilées ou même bloquées ; par conséquent, les tuyaux d’entrée et de sortie sont conçus avec une fenêtre d’observation, pour faciliter l’observation et le désempilage.

Si la distance de laminage est trop faible, il est facile d’obtenir de l’huile, mais après le broyage et le transport, l’huile s’est infiltrée dans la surface du matériau, de sorte qu’il est facile de coaguler et d’adhérer au rouleau, ce qui entraîne des difficultés d’alimentation du rouleau, voire un blocage ; et en même temps, le coprah est trop sec, dur, tenace et a une faible densité, si la distance de laminage est trop faible, le matériau sera empilé entre les deux rouleaux. Par conséquent, le floconnage du coprah est différent de celui d’autres matières oléagineuses, sa distance de laminage est plus grande, environ 3 à 4,5 mm, afin d’éviter que le degré élevé de poudre n’adhère au rouleau et que le matériau ne soit pas évacué en douceur.

En raison de l’agitation continue de la machine de cuisson à la vapeur, l’huile a tendance à s’écouler du coprah et à s’égoutter le long des axes principaux, ce qui entraîne des déchets et la pollution de l’environnement de l’atelier ; en même temps, le matériau se coagule facilement et rend la transmission difficile. Solution : réduire le degré de poudre de matière, diminuer le temps d’agitation et nettoyer fréquemment les buses d’alimentation de la machine de cuisson à la vapeur et de l’élévateur, afin d’éviter l’accumulation de matière.

En raison des propriétés matérielles différentes du coprah par rapport aux huiles courantes, si nous le traitons de manière conventionnelle, il se peut qu’il n’y ait pas d’alimentation, pas de sortie de tourteau ou qu’il n’y ait pas d’huile pressée au niveau de la cage de pressage, de sorte que le jeu de la barre de pressage doit être ajusté. Lors du pressage du coprah, l’écart entre les barres de pressage doit être faible.

Le coprah a une teneur élevée en fibres, de sorte que l’huile de coco brute contient trop de résidus. Afin de réduire la charge de filtrage, nous ajoutons au processus de production de l’huile de coco un processus de clarification de l’huile, de sorte que les résidus retournent directement dans la presse à huile pour y être pressés à nouveau.